Haberl / Heller | Le Commissaire Marquanteur poursuit un fantôme : France polar | E-Book | sack.de
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E-Book, Französisch, 170 Seiten

Haberl / Heller Le Commissaire Marquanteur poursuit un fantôme : France polar


1. Auflage 2024
ISBN: 978-3-7452-3701-6
Verlag: Alfredbooks
Format: EPUB
Kopierschutz: 0 - No protection

E-Book, Französisch, 170 Seiten

ISBN: 978-3-7452-3701-6
Verlag: Alfredbooks
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Roman policier de Peter Haberl & Chris Heller Une nouvelle enquête pour le commissaire Marquanteur et ses collègues de la ville portuaire de Marseille, dans le sud de la France. Elles sont jeunes et belles ; elles sont grandes, minces, ont les cheveux noirs et les yeux bleus. Leur rêve le plus cher est de devenir mannequin. Mais toutes ces qualités vont être fatales à ces jeunes femmes, car un psychopathe les a choisies comme proies. Après leur enlèvement, elles disparaissent et sont soupçonnées d'avoir été tuées. Il y a des années, un criminel interné en hôpital psychiatrique a procédé de la même manière. Un imitateur ? s'interrogent les commissaires marseillais Marquanteur et Leroc, qui traquent un fantôme.

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Deux jours plus tard, j'ai lu dans le journal qu'elle avait été enlevée. Une jeune fille de 17 ans a disparu sans laisser de trace ! J'ai lu le rapport. C'était la troisième fille à disparaître sans laisser de traces en un mois. La police ne pensait plus que les filles avaient fugué. Un porte-parole de la police a expliqué lors d'une conférence de presse que des crimes violents ne pouvaient pas être exclus. Il est frappant de constater qu'il s'agit toujours du même type de fille. Grande, mince, cheveux foncés et longs, yeux bleus !

J'ai attiré l'attention de François sur le rapport. Après l'avoir lu, il m'a dit : "Les filles disparues relèvent bien de notre compétence. Qu'en pensez-vous, Pierre ? Devrions-nous nous renseigner et en parler à M. Marteau ?

"Vous pensez aussi que les filles ont été victimes d'un crime", ai-je constaté. Puis j'ai hoché la tête et je me suis donné la réponse : "Tout porte à croire que c'est le cas".

J'ai pris le téléphone, composé le numéro du commissariat et demandé à voir l'officier qui enquêtait sur l'affaire.

"Je suis en train de confier l'affaire au FoPoCri", a-t-il dit. Il s'appelait Jules Owell. Il était inspecteur. "Pour des raisons de compétence", expliqua-t-il. "Comme on ne peut pas supposer que les filles se sont enfuies de chez elles, c'est vous, les garçons, qui êtes compétents".

"Quand recevrons-nous les dossiers d'enquête ?", ai-je demandé.

"Je vous les ferai parvenir par un messager. Dans une heure, vous aurez l'affaire".

Nous avons mis fin à la conversation. J'ai ensuite téléphoné à Mélanie pour qu'elle nous inscrive chez Monsieur Marteau. Notre patron était disponible. Nous nous sommes rendus dans son bureau. J'ai pris le journal avec moi. Je lui présentai le rapport et lui expliquai que l'affaire était transférée à la FoPoCri pour des raisons de compétence. Il a lu.

Lorsqu'il a terminé, j'ai dit : "Nous aimerions que vous nous transfériez l'affaire, chef".

"Le sort des filles doit vous tenir à cœur, n'est-ce pas ?"

"J'essaie de me mettre à la place des parents", murmurai-je. "L'incertitude, la peur, l'impuissance ..."

"D'accord", a dit le chef. "Faites tout ce qui est en votre pouvoir pour découvrir où les filles ont disparu ! Si l'on tient compte de toutes les circonstances mentionnées dans l'article, on ne peut effectivement pas supposer que les filles se sont enfuies".

Une demi-heure plus tard, nous avons reçu le dossier du commissariat de police. Lucy Morel , quinze ans, Laura Junot, seize ans, et Janine Séville, dix-sept ans, avaient disparu. Lucy Morel était portée disparue depuis le 2 avril, soit depuis plus d'un mois, et Laura Junot depuis le 16 avril. Janine Seville a disparu il y a deux jours, soit le trente avril.

"Les filles disparaissent à un rythme de deux semaines", a marmonné François.

"Oui. Et en termes de type, elles se ressemblent comme des sœurs", ai-je ajouté.

Les parents de Lucy Morel vivaient dans le centre de Marseille, Laura Junot en était également originaire et Janine Séville habitait aux Blancard. La disparition ne s'est donc pas limitée à un quartier particulier.

"Nous devrions commencer par Janine Seville", a suggéré François. "Dans votre cas, la piste devrait être encore assez chaude. Je suggère que nous parlions aux parents de la jeune fille, puis aux amis avec lesquels Janine était dans le pub sur la plage de...



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